Selon le Baromètre de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (l’APCIQ), les ventes résidentielles de Sainte-Agathe-des-Monts du deuxième trimestre 2024 (avril, mai et juin) ont augmenté de 40 % par rapport au deuxième trimestre de 2023.
D’ici 2032, huit régions devraient voir leur poids démographique augmenter aux dépens des neuf autres au Québec selon le plus récent Portrait économique des régions du Québec, édition 2023, publié récemment par le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie. C’est en Montérégie (de 17,0 % à 17,5 %) et dans les Laurentides (de 7,6 % à 8,0 %) que le poids démographique devrait croître le plus.
L’inflation se rapproche de la cible visée par la Banque du Canada pour la première fois depuis les hausses successives des dernières années. En effet, un taux de 2,9 % (plus bas que la prévision de 3,3 %) a été observé en janvier, ce qui le place dans la fourchette de la Banque pour la réduction du taux d’intérêt. Observons de plus près de cette tendance.
Mettre sa résidence en vente requiert une mise à jour de documents importante qui étonne souvent bien des propriétaires. Parmi les réactions les plus fréquentes, on entend : « Il faut que je cherche ces factures? »; « Avez-vous vraiment besoin de ça? » La réponse est toujours « oui ». Le courtier doit valider toute l’information que l’on veut transmettre à un acheteur potentiel avant de publier ces renseignements dans l’inscription d’une propriété sur Centris. Le devoir de validation du courtier en est un des plus importants. On fait le tour de la question.
Ceux qui ont lu les articles que j’ai publiés en 2023 ne seront pas étonnés d’apprendre que l’année 2024 s’annonce très positive sur le plan de l’immobilier. Alors que la majorité des médias jouaient dans le sensationnalisme à chaque hausse du taux d’intérêt, les billets des économistes des grandes banques et de la Banque du Canada étaient plutôt encourageants.
La hausse des taux d’intérêt du début de l’été a surpris plusieurs économistes. Bien que les hausses antérieures aient eu pour effet d’abaisser le taux d’inflation, l’objectif de 2 % semble plus difficile à atteindre. Tour d’horizon.
L’arrivée du mois d’octobre marque un moment important pour le marché immobilier dans les Laurentides : la location de chalets pour l’hiver est presque terminée et, pour ceux qui cherchent à être propriétaires, une prise de possession 60 jours après une offre acceptée pointe à peu près vers janvier sur le calendrier – une de 30 jours pointe vers Noël… De plus, on peut encore visiter les propriétés avant que toutes les feuilles ne soient tombées. Le compte à rebours du temps de réflexion est terminé, il faut passer à l’action, sinon, ce sera probablement pour l’an prochain!
Il faut prendre avec des pincettes les statistiques du marché immobilier résidentiel du 2e trimestre de l'année publiées le 14 juillet par l'APCIQ. En effet, si l'on observe un ralentissement pour le trimestre complet, il semble bien que certains centres laurentiens soient épargnés et que le mois de juin indique tout autre chose...
Alors que le marché de l’île de Montréal enregistre une performance jugée étonnante par les analystes de l’ Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) avec une baisse des ventes de seulement 5 % par rapport à l’année dernière et un léger recul des prix de 4 %, qui est somme toute très faible par rapport au sommet de l’an dernier, le marché laurentien joue dans un tout autre registre.
Plusieurs ont une image très idyllique d’un chalet au bord de l’eau, souvent issue de souvenirs de vacances heureux ou d’un amalgame de récits d’amis et de rêves personnels. Cette image peut décrire un chalet tranquille au bord d’un lac, sans voisin, entouré de grands arbres, muni d’une véranda et situé à 1 h 15 de Montréal maximum. Ces acheteurs sont souvent fort surpris par les caractéristiques des propriétés de bord de l’eau dans l’inventaire disponible!
L’accès à la propriété est de plus en plus difficile pour les jeunes générations. Votre enfant rêve de faire sa première acquisition, mais les prix et les taux d’intérêt élevés constituent un frein à son projet? Vous souhaitez lui apporter votre aide? Voici quatre conseils à cet effet!
Les minimaisons sont de plus en plus populaires en Amérique du Nord. Avec la hausse des prix de l’immobilier, les gens se tournent en effet vers des solutions créatives pour vivre sans dettes. Voici quatre signes indiquant que la réduction de votre espace de vie pourrait vous convenir.
Le 25 janvier dernier, la Banque du Canada a haussé le taux directeur de 25 points de base. Il s’agit de la huitième hausse depuis le début de 2022 qui porte maintenant le taux directeur à 4,50 %.
Voici venue une période clé de l’année qui sonne le début de la « saison immobilière » : le printemps. Cette saison a connu, l’an dernier, des turbulences provoquées par les hausses rapides du taux d’intérêt et le fort désir de plusieurs – retenu durant des mois – d’acheter une propriété dans les Laurentides.
La Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ) rend publics les résultats d’un sondage indépendant effectué auprès des locataires révélant que 86% de ceux-ci jugent que leur augmentation de loyer a respecté leur attente en 2022. Ce résultat révèle même qu’un locataire sur 6 n’a eu aucune augmentation de son loyer dans la dernière année.
Membre du groupe Médialo, L’info du Nord Sainte-Agathe est un journal local couvrant l’actualité de plusieurs municipalités des Laurentides de Sainte-Adèle à Ivry sur le Lac en passant par Saint-Donat.
