Sortie de « L’Épopée pas pire d’Éric Lambert, Épître II »
Sylvie lance un deuxième opus et bientôt un roman
Le 8 mai, la formation de psychrock (progressif) Sylvie, dont l’un des membres, Simon Charette, est originaire de La Minerve, lançait son 2e opus, « L’Épopée pas pire d’Éric Lambert, Épître II ». Ce deuxième volet est le nombril d’un triptyque, le premier paru en 2019.

Lancé comme un opéra rock (Les Hôtesses d’Hilaire ont proposé leur dernier rejeton sous cette forme il y a à peine deux ans), cet album est bourré de sons multicolores. C’est un opéra rock certes, mais Sylvie garde l’élément qui fait de son premier opus un poumon qui respire de passages à la Buffalo Springfield et de ce que Harmonium et Genesis, époque Gabriel, proposaient de mieux.
Sylvie a eu toute une surprise quand un beau jour sur les ondes d’ICI Musique, l’immortelle Diane Tell a chanté des louanges au groupe indiquant qu’il était à surveiller. Diane Tell écoute Sylvie!
Un roman pour boucler
Comme Neil Young l’a fait en 2003 pour Greendale, Sylvie publiera un livre, un roman, dans lequel on continuera de relater les aventures du protagoniste de ses deux albums. C’est la fin du triptyque. Le titre? L’Épopée pas pire d’Éric Lambert.
« Le roman sera lancé en précommande via notre page Bandcamp le 5 juin. Il pourra être récupéré ou livré dès que notre spectacle de lancement prévu pour célébrer la sortie de l’Épître II et du roman (et donc qui conclura le cycle de parution) aura eu lieu, ce qui nous amène après les mesures de confinement, indique Simon Charrette. La date reste évidemment à déterminer. On communique beaucoup via notre page Facebook pour tout ce qui est en lien avec nos spectacles et nos parutions. »
L’Épopée pas pire d’Éric Lambert, Épître II (comme les autres enregistrements) est disponible sur toutes les plateformes d’achat en ligne et d’écoute en continu.
Spectacle virtuel?
C’est la grande vague, les artistes se donnent en spectacle virtuellement. Une idée pour Sylvie? « Pour les spectacles virtuels, on a décidé de ne pas aller de l’avant. Si on avait accès à du matériel qui puisse dégager une énergie et un rendu similaires à ce qui est possible sur la scène, on en aurait possiblement offert. Mais tant qu’à faire quelque chose d’approximatif, on se dit qu’on va payer une méchante traite à ceux qui vont venir nous voir après le confinement pis le party va lever », a conclu Simon Charette.
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