Le chat de Laurie a dû être euthanasié
Foudroyé par un virus
Laurie Lortie St-Jacques traverse une période difficile. Très amoureuse des animaux, la jeune femme de Val-David vient de perdre « Rose », petite chatonne d’un an qu’elle avait confiée le 18 avril dernier à la SPCA Laurentides-Labelle pour stérilisation. Quelques jours après avoir été stérilisé, l’animal a dû être euthanasié.
Laurie Lortie St-Jacques traverse une période difficile. Très amoureuse des animaux, la jeune femme de Val-David vient de perdre « Rose », petite chatonne d’un an qu’elle avait confiée le 18 avril dernier à la SPCA Laurentides-Labelle pour stérilisation. Quelques jours après avoir été stérilisé, l’animal a dû être euthanasié.
Émue aux larmes, Laurie avoue avoir peine à vivre le deuil de son chaton foudroyé par un virus qui s’est avéré mortel, le calicivirus.
Scène pénible
À peine deux jours après la stérilisation de la chatonne, les premiers symptômes de maladie ont commencé à se manifester. « Elle s’est mise à vomir sans arrêt. Je ne savais plus quoi faire. J’ai consulté le dr Robert Aucoin, de l’hôpital vétérinaire de Sainte-Agathe », d’enchaîner la Valdavidoise
Sur sa page FaceBook, Laurie a décrit la pénible scène de son petit chat qui se laissait mourir, incapable de se nourrir.
Sa consultation auprès du vétérinaire l’a menée à prendre la décision qui s’imposait : la facture des soins à l’animal pour simplement diminuer sa douleur étant prohibitive, il fallait se résigner à abréger son agonie en l’euthanasiant en douceur.
Ce qui fut fait le samedi 29 avril.
Un autre chat?
Ce malheureux cas de contagion par un virus foudroyant et éventuellement fatal n’est pas unique. Comme les téléspectateurs l’ont réalisé lors de l’émission du 1er mai de « Refuge animal » sur TVA, le risque de contamination de son animal domestique est tout aussi réel dans une clinique vétérinaire que dans un refuge de la SPCA.
« Les virus ne s’attrapent pas que par contact direct, par la salive, les larmes, l’urine ou les selles. Les animaux peuvent l’attraper dans l’air de la pièce où ils se trouvent. C’est pour cela que je vais attendre un peu avant d’adopter un autre petit chat, quitte à attendre jusqu’à ce que ma fille elle-même m’en demande un! » de terminer Laurie qui est enceinte de quatre mois de son premier enfant.
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