Des solutions entendues au ” 5 à 7 “…
Chambre de commerce Ste-Agathe-des-Monts
Une vingtaine de personnes, dont 11 des membres du conseil d'administration de la Chambre de commerce Sainte-Agathe-des-Monts, ont participé à un « 5 à 7 » de gens d'affaires dans les locaux de l'ancienne gare de Sainte-Agathe, le 5 janvier dernier.
On a discuté, échangé et commenté les grandes lignes des résultats du sondage mené auprès des commerçants du Grand Sainte-Agathe à la fin de novembre dernier.
Une première participante a mentionné l’apport de l’ancien maire de Québec, le regretté Jean-Paul L’Allier qui est décédé le matin même de la rencontre. « On pourrait s’inspirer de la vision de gens de l’extérieur pour valoriser davantage notre espace de vie, comme M. L’Allier l’a fait avec le quartier Saint-Roch, par exemple. »
Le même cancer
Le contexte économique est difficile, a-t-on reconnu d’emblée, mais certains participants ont fait part de leur inquiétude devant le nombre élevé de locaux vacants et, dans certains cas, laissés à l’abandon et dans un état de décrépitude, surtout sur la rue Saint-Vincent, dans le Vieux centre-ville de Sainte-Agathe. Le ton a même monté d’un cran à la mention des propriétaires en cause, « qui ne veulent rien savoir… »
Une femme d’affaires a rappelé que « ces proprios souvent non-résidents et toujours absents font la sourde oreille aux mises en demeure de la municipalité et du comité d’urbanisme qui condamnent l’insalubrité des lieux en question… C’est pas laid. C’est archi-laid. »
« Depuis 1971 que je suis à Sainte-Agathe, on est toujours pris avec le même cancer, la présence de ces taudis », a renchéri un homme. « C’est un frein majeur au développement du cœur de notre ville. »
« Quelqu’un a des idées, des suggestions, pour revitaliser notre centre-ville? », a demandé à la ronde la présidente du conseil d’administration de la Chambre de commerce, Marie-Ève Chalifoux. On en a entendu quelques réponses intéressantes, dont certaines nécessiteront toutefois plusieurs années avant de donner les résultats escomptés.
Parlant de sa clientèle, un marchand a eu une savoureuse boutade: « le (client) local, c’est mon pain et mon beurre. Le tourisme, c’est mon gâteau. »
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