Des témoins partagent leur expérience sur les OVNIS
Les observations d’OVNIS sont chose courante dans la région.
Une résidante de Saint-Faustin-Lac-Carré, Suzanne Boucher, qui estime elle-même avoir été enlevée par des extra-terrestres, à Saint-Polycarpe en juillet 1976, a eu l’idée d’organiser, le 9 mai, une rencontre d’information et de partage à la Salle Bellevue de Saint-Faustin-Lac-Carré. Une cinquantaine de personnes sont venues entendre ceux qui affirment ouvertement avoir été témoin d’étranges observations dans le ciel.
Témoignages de qualité
Selon l’ufologue Marc St-Germain, c’est un événement historique de par la quantité et la qualité des témoignages entendus. «En ufologie, on entend souvent des ufologues s’exprimer sur différents cas, mais lorsque ce sont les témoins qui racontent leur expérience, l’impact du message est encore plus grand. On a pu sentir ainsi l’émotion entourant chacun des événements rapportés, et ce, de la simple observation d’OVNIS jusqu’à l’enlèvement par des extraterrestres», dit-il.
Parmi les cas présentés, il y a, bien sûr, le «cas» Saint-Adolphe-d’Howard. Benoît Meilleur et son fils Samuel ont partagé leur expérience accompagnés de l’enquêteur-ufologue Luigi Venditelli. Sur ce point, M. Venditelli est formel: il ne s’agit pas de drones (il est lui-même propriétaire d’une compagnie qui en vend), ni d’avions ou de phénomènes naturels. L’enquêteur-ufologue affirme haut et fort que les OVNIS de Saint-Adolphe d’Howard sont bel et bien des «objets volants non identifiés» qui entrent dans la catégorie des vaisseaux de nature inconnue.
Outre les OVNIS de Saint-Adolphe d’Howard, la rencontre du 3e type de Wemotaci, l’OVNI triangulaire de Lac-Supérieur et d’autres témoignages encore, le public a pu entendre Emily Trim, l’un des principaux témoins dans l’affaire du Zimbabwe de 1994 qui arrivait tout juste d’Afrique où elle a participé à un projet de documentaire en lien avec cette affaire. Le cas de Mme Trim figure parmi les plus connus en l’ufologie, selon Marc St-Germain. Ce cas avait été enquêté par John Mack, un professeur de psychiatrie de l’Université d’Harvard qui en avait attesté l’authenticité. Or, plus de 20 ans après cet événement, certains de ces témoins, devenus des adultes aujourd’hui, continuent de raconter la même version des faits: de petits êtres gris, qui sont arrivés dans des vaisseaux, les ont approchés pour ensuite communiquer avec eux par télépathie.
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