L’oeuvre de 266 pages qualifiée de tragi-comédie dépeint de façon poétique une guerre atroce au quotidien. Elle comporte un kaléidoscope de tableaux montrant l’intégralité et la dignité humaines bafouées par les ambitions démentes d’un mégalomane qui ébranle la sécurité et l’ordre mondial.
« Déconfiture des escobars désigne l’échec des menteurs et des hypocrites qui justifient indûment leurs méfaits et tournent les événements malencontreux à leur avantage », décrit Bernard Anton.
Un roman-vérité
L’ouvrage se lisant comme un roman est parsemé d’images crues et de cris déchirants. Bernard Anton pousse ainsi les mots et les personnages jusqu’à leurs limites dans sa plus récente œuvre littéraire. Comme pour ses ouvrages précédents, l’écrivain place l’être humain au centre du récit où la paix, l’amour et l’espoir percent malgré les atrocités qui défilent.
« Flirtant avec le théâtre de l’absurde par moment, teintée d’une poésie singulière et lyrique, sa langue a toujours des qualités musicales et un souffle qui ne dérougit pas. Certaines scènes criantes de réalité sont bouleversantes », déclarait Nathalie Boisvert dans la préface du livre.
À propos de l’auteur
La carrière littéraire s’étend sur plus de 30 ans avec une cinquantaine d’oeuvres à son actif qui ont été publiées au Québec, en France et aux États-Unis. Qualifié dès ses premiers recueils de « magicien des mots », Bernard Anton a participé à plusieurs expositions, colloques, revues, conférences, festivals et événements.
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