Un candidat d’Ivry-sur-le-Lac se vide le cœur!
Le torchon brûle au conseil
En tant que citoyen d’Ivry, je suis encore surpris de la façon dont la dernière séance du 14 août s’est déroulée.
En tant que citoyen d’Ivry, je suis encore surpris de la façon dont la dernière séance du 14 août s’est déroulée.
Les conseillers agissent de la même manière depuis plusieurs mois et ils n’accomplissent rien. Le spectacle continue de plus bel et fait en sorte que les conseillers démontrent leur incapacité à régler les vrais problèmes pour lesquels ils sont mandatés.
Proposition rejetée
Les dossiers importants à considérer, lundi soir, étaient la destitution de Jean-Raymond Dufresne de son poste de directeur général, la représentation légale de la municipalité dans cette affaire et les contrats de deux employés clés.
Les anciens conseillers (Claire Leduc, Daniel Miller et Melvin Hodes), qui ont collectivement siégé sur le conseil pour 50 ans, ont présenté le 14 août, à la séance, une possible entente pour régler le présent litige qui dure depuis l’an dernier. Il s’agissait d’une prime de départ de 25 000$. Ils étaient persuadés que ce montant et les conditions qui s’ajoutent seraient bien reçus par M. Dufresne et son procureur. Ils ont mentionné que la réaction maladroite de Me Mercille, qui représente la municipalité, a fait torpiller la négociation.
Au lieu de remercier ces personnes pour leur démarche et leur implication dans ce dossier sensible, les conseillers, surtout M. Béliveau, ont complètement écarté cette proposition pour simplement dire que l’affaire était dans les mains des procureurs. Il est évident que la municipalité risque maintenant de dépenser encore plus en frais légaux et, encore plus important, de payer un jugement supérieur à 25 000$. C’est vraiment aberrant! M. Béliveau et les autres conseillers semblent convaincus de suivre la stratégie de Me Mercille qui, de toute évidence, rebondira sur nous, les contribuables d’Ivry.
En ce qui concerne le renouvellement des contrats de Pierrette Cyr et Gilles Sauvageau, cette affaire traîne depuis le 1er janvier dernier. Pourquoi? Ils sont à l’emploi de la municipalité depuis 8 ans et, selon ma compréhension des changements à partir de cette date, ce n’est rien de plus compliqué qu’un ajustement de salaire déjà budgété et suivant le taux d’inflation. Encore une fois, M. Béliveau et les autres conseillers ont offert l’excuse qu’ils n’ont pas eu le temps de regarder les contrats comme il faut depuis 8 mois. C’est lamentable qu’on traite les employés comme ça. Le conseil semble être incapable de se concentrer sur les choses qui vont dans les intérêts de la municipalité, préférant plutôt s’engager dans les batailles légales et/ou politiques.
Il est temps d’en finir avec ces spectacles et d’agir d’une manière professionnelle, gérant tous les mandats et trouvant des solutions pour le bénéfice de nos citoyens. C’est pour cette raison que je me présente au poste de conseiller aux prochaines élections, et ce, contre M. Béliveau, qui est à l’origine de plusieurs mauvaises décisions potentiellement coûteuses du conseil.
Vittorio Spera
Voir plus de : Opinion
De plus en plus d’entreprises s’engagent envers les médias d’ici
Au moment d’écrire ces lignes, près d’une centaine d’entreprises québécoises et canadiennes avaient adhéré à l’initiative « J’appuie le Mouvement …
Il est temps d’adopter C-18 et de préserver les nouvelles locales
Nous représentons ici plus d’une quarantaine de propriétaires d’hebdomadaires indépendants à but lucratif qui regroupent plus d’une centaine de médias …
Traditions en famille
Les traditions peuvent vouloir dire différentes choses d’une personne à une autre. Personne n’aura la même définition, car nous avons …